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mercredi 16 novembre 2016

"IN SITU OPUS# 7" par la Cie Alban dans la boîte au Théâtre de Poche

Après un lancement réussi de la programmation 2016-2017 du Nouveau Théâtre de Poche avec "Médée" par la Cie Quai Ouest le 4 novembre dernier (plus de places 6 jours avant la représentation!), le Théâtre de Poche accueille pour poursuivre sa saison de la danse en la personne d' Alban de la Blanchardière et de sa compagnie "Alban dans la boîte".


Nous sommes très heureux d'accueillir de la danse au sein de cette programmation et la Cie Alban dans la boîte nous offre le privilège d'assister à une étape de création avec un "work in progress" intitulé "In Situ Opus#7" vendredi 18 et samedi 19 septembre à 20h30 au Théâtre de Poche.
2 hommes se font face et s'affrontent entre joutes gestuelles et joutes musicales, Alban de la Blanchardière et Jean-Luc Thomas nous offrent un moment de création spontanée où l'un est au service de l'autre, une performance entre rencontre et créativité:

Les CRÉATIONS SPONTANÉES ou instantanées, que l’on associe à la grande famille des « performances », sont les formes artistiques les plus prisées par la compagnie. Alban y a trouvé l’expression la plus naturelle de sa créativité. C’est une manière d’investir un lieu, de se mettre en relation avec des oeuvres, un paysage, une atmosphère, d’autres artistes… pas le temps de trop solliciter le cerveau, il faut respirer et laisser l’instinct prendre la main.
« On découvre le lieu, on retire une ligne directrice et la magie doit opérer. »
Alban de la Blanchardière
Le temps de préparation est souvent court.  Il peut arriver, notamment pour les créations en lien avec le travail d’un(e) plasticen(ne), d’avoir un temps de préparation plus long ; dans tous les cas, une rencontre préalable. On est ici à l’origine du lien qu’Alban tisse entre démarche artistique contemporaine et chamanisme. Et comme dans celui-ci, l’acte artistique produit s’adresse à autrui. Les artistes deviennent des « passeurs », ils tentent de mettre en lien les spectateurs avec eux-même, leur imaginaire, le reste du monde… Cela distingue la démarche d’Alban de celles d’autres courants de la « performance », où le public assiste à une expérience, sans forcément que celle-ci lui soit adressée.
Pour la compagnie, il est question de formes spectaculaires qui tiennent compte du rapport constant aux spectateurs.

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